Commentaire de Fergus
sur Les rapaces : somptueux mais trop souvent menacés
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@ Aristide
« Je ne suis pas de ceux qui regrettent ces temps heureux des moissons sans machines »
Encore faudrait-il les avoir connus. Autrement dit être très âgé.
Même dans ma jeunesse dans les monts d’Auvergne il y avait déjà des machines un peu partout dans les années 50, même si les tracteurs n’avaient pas encore remplacé tous les couples de boeufs.
Mais pour les moissons, elles se faisaient avec des moissonneuses-lieuses, la récolte étant ensuite livrée en fin d’été à la batteuse. J’ai d’ailleurs écrit un texte sur ces journées particulières : 1957 : jour de batteuse.