Commentaire de Mélusine ou la Robe de Saphir.
sur Le prodige de l'Esprit dans la pensée humaine. Que sera l'humanité dans 100 ans ? Elle ne se reconnaîtra pas, un monde complètement nouveau


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Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 20 octobre 2022 14:57

Mon résumé : si Dieu était tout puissant et Omnipotent, il aurait dû savoir que sa création était imparfaite. A moins de considérer que c’est l’humain qui s’est créé une image d’un Dieu (inconscient collectif).. Différent selon chaque peuple et structure familiale... C’est donc à l’humain de revoir sa copie (....) Je vois que l’article sur le Dieu HERM-APHRODITE a disparu.... C’est justement parce que l’homme est IMPARFAIT qu’il doit pouvoir se perfectionner et se verticaliser un peu plus.... c’est face aux épreuves que Job retrouva son ancien état rêvé, des enfants en plus... Il eut même des ulcères. ULCERE (sentiment d’injustice). Il est temps de remettre à jour PLOTIN qui tenta de réconciler les dieux grecs et ceux de l’ancien testament hébraïque. https://fr.wikipedia.org/wiki/Plotin. LE PHARE d’ALEXANDRIE devrait guider notre chemin..... L’ENNEADE. PLOTIN lui aimait le chiffre neuf (comme neuf, nouveau ou troisième testament...). Suit le HUIT D’HERMEPOLIS. 

Les œuvres de Plotin ont été éditées par Porphyre de Tyr qui les a présentées en six Ennéades comprenant chacune neuf traités (ennéa en grec désigne le chiffre neuf)16, dont la taille, très diverse, va de deux ou trois pages à une centaine. Ce regroupement est thématique et non chronologique. On sait par exemple que le premier traité de la première Ennéade est chronologiquement l’un des derniers qu’a écrits Plotin16.

Suivant la tradition en vigueur à l’époque impériale, les traités de Plotin reflètent la forme de son enseignement oral : ses cours consistaient en commentaires de textes de Platon et d’Aristote suivis d’une séance de discussion entre le maître et les disciples17,18. De là les suites de questions et réponses qui émaillent tant de traités, à l’aspect de discussion d’école sténographiée19. De là aussi la recherche de l’effet immédiat et profond et le souci de mettre les doctrines au service de thèmes de prédication, « trait absolument général de l’époque » comme l’a montré Émile Bréhier20. On cherchera donc en vain dans l’œuvre de Plotin le développement graduel d’une doctrine selon un plan arrêté à l’avance : son œuvre se décompose en thèmes de prédication spirituelle que la doctrine platonicienne permet de soutenir. Ainsi, la première Ennéade, dévolue aux questions éthiques, traite le thème de la vie spirituelle et indépendante de l’âme, la deuxième et la troisième sont consacrées à la philosophie naturelle et à la cosmologie, la quatrième à des questions métaphysiques relatives à l’Âme, la cinquième à l’Intellect, la sixième aux nombres en général et à l’Un en particulier.


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