Commentaire de Jean Keim
sur La relation entre l'Ancien et le Nouveau Testament et ses implications culturelles et politiques actuelles
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@Bernard Mitjavile
Oui ce que vous écrivez me semble juste ; juste qq. mots en plus, non pas pour avoir le dernier mot mais parce que ça me paraît important : le bien et le mal ne cohabitent pas en nous, ils ne sont pas le contraire l’un de l’autre car ils sont radicalement incompatibles ; le mal, qu’il soit coutumier ou extraordinaire, chasse irrémédiablement le bien, le mal est toujours l’absence du bien, le bien ne peut pas s’imposer c’est contraire à sa nature, c’est pour cela que Jésus, malgré la puissance que lui conférait le ‘’Père’’ n’a pas essayé de se soustraire à ce qui l’attendait, il était totalement libre.