Commentaire de PascalDemoriane
sur Quelle surface de notre planète faudrait-il préserver pour un maintien satisfaisant de la biodiversité ?
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Bonne intro à un aspect du paradoxe
systémique monde.
« Que penser de tout cela ? »
demandez vous. Je vous propose la conclusion suivante.
Vouloir
protéger artificiellement des zones contre l’artificialisation
techno-sociale, c’est déjà les artificialiser. C’est comme vouloir
protéger des populations « archaïques » (humaines comme
animales) du monde développé, c’est les ghettoïser
artificiellement. Çà marche pas !
Et dans le monde du capital tel qu’il
est et va, protéger c’est valoriser et in fine valoriser c’est
marchandiser, et marchandiser c’est détruire. Voilà le paradoxe
irrépréssible.
La « protection » fait déjà
l’objet de produits financiers et d’un marché financier.
Il n’y a donc pas de solution techno-économico-sociale au système monde techno-économico-social du capital. C’est foutu ! Trop tard ! Tout sera détruit parce que le monde humain n’a plus « d’ailleurs » planétaire.
C’est çà la vraie définition du fait totalitaire, du système totalitaire (mondialisme de la marchandise).