Commentaire de SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
sur L'Occident utilise l'Ukraine comme un polygone pour les nouveaux armements


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Le scandale de trop....Les américains sont les ennemis de l’Europe .

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23.11.2022 

L’armée ukrainienne a repris des bombardements massifs de la centrale nucléaire de Zaporijia en profitant de la protection de l’Occident. 

Comme l’a rapporté auparavant le ministère russe de la Défense, les forces armées ukrainiennes ont repris leurs frappes sur la centrale nucléaire de Zaporijia après une pause de deux mois. Au total, du 19 au 21 novembre, les forces ukrainiennes ont lancé sur la centrale de Zaporijia près de 30 projectiles, qui ont touché le bassin de la fontaine de refroidissement des réacteurs, le dépôt sec de déchets nucléaires, ainsi que le toit d’un bâtiment spécial où est stocké le combustible nucléaire frais. 

Un groupe d’experts de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), qui se trouve à la centrale, a déclaré qu’il n’y avait pas de menace directe à la sécurité nucléaire à la centrale. Des réservoirs de stockage de condensat ont été endommagés, ce qui a conduit à une fuite non radioactive. Le combustible usé et les déchets radioactifs de la centrale de Zaporijia n’ont pas été touchés lors des tirs, rapporte l’AIEA. 

Le directeur général de l’agence, Rafael Grossi, a insisté une nouvelle fois sur la nécessité de créer une zone de sécurité autour de la centrale. "Je ne baisserai pas les bras tant que cela ne deviendra pas réalité", a-t-il déclaré.

Le directeur général de l’AIEA a rencontré mercredi à Istanbul la délégation de l’entreprise publique russe Rosatom conduite par le directeur général de cette dernière, Alexeï Likhatchov, pour discuter de la mise en place d’une zone de sécurité autour de la centrale nucléaire de Zaporijia. C’est ce qu’on lit dans un communiqué publié mercredi par l’AIEA sur Twitter.

Rosatom a pris le contrôle de la centrale et a placé tout le personnel de la centrale sous la juridiction russe. La centrale est arrêtée, on y maintient le refroidissement des réacteurs en procédant à d’autres travaux de maintenance. Le patron de Rosatom a annoncé que la centrale présentait un risque d’accident nucléaire, et il est évident que Kiev juge acceptable un incident nucléaire de faible ampleur. 

« Faible ou non, la radioactivité ne demandera pas l’avis de Kiev », a martelé M. Likhatchov. 


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