Ce n’est pas la première fois que je parle (et je n’en suis pas la source) de tyrannie pour qualifier la prétendue « constitution » de la cinquième .

Faite sur mesure pour un général (ce qui donne déjà une idée du respect de la liberté, au sens large, qu’on pouvait en attendre) de manière à éviter les atermoiements de la quatrième (où il fallait négocier des consensus ce qui oblige à céder parfois sur certains sujets), elle était un peu tempérée par le recours fréquent aux référenda .

On notera que le dernier, perdu par de Gaulle, fut suivi de son retrait de la vie politique, un reste de sens de l’honneur que ses suivants ont totalement perdu .

Depuis, ils évitent l’exercice, tout en gardant les privilèges de la tyrannie ...