Commentaire de Morgan Stern
sur « Je suis français, donc je me plains »... ou une autre vision de la politique
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Ce qui est amusant, c’est qu’il y a ceux qui se plaignent, et ceux qui se plaignent sans cesse de ceux qui se plaignent. On a droit à la double couche... ;)
Quelle importance ? Si vous ne supportez pas les pleurnicheries, je vous recommande des comprimés de détachement et d’indifférence.
D’abord, vous éviterez de subir votre propre mécontentement, ce qui vous épargnera bien de la peine, et vous ne ferez plus attention à celui des autres.
Et vous n’aurez pas l’air incapable de pratiquer ce que vous souhaiteriez d’autrui.
J’ai tout faux ?