Commentaire de chapoutier
sur Le ballon chinois est vengé, Washington accuse Moscou d'avoir détruit un drone américain


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chapoutier 16 mars 2023 15:40

pour ajouter un peu de visibilité à ce petit morceau d’anthologie
qu’il faut absolument partager sans modération
je reproduis ici ( sans son autorisation cela va sans dire )
la réponse ( cinglante ! ) de Nicole Cheverney au crétin qui a usurpé le pseudonyme de mozart.

Nicole Cheverney 16 mars 14:30

@Mozart

Je précise que je ne suis pas votre « chère amie » ! Gardez donc vos familiarités pour vous ! 

Je réponds donc à vos arguments infaillibles ! oh ! combien ! 

Toutes les armées recrutent et ont toujours recruté des mercenaires. C’est acté. Wagner n’est pas une exception. En face ils font de même et en nombre d’unités bien plus importants. Car, pointilleux comme vous l’êtes, si les Russes avaient recruté plus d’une unité de mercenaires, déjà que vous en faîtes — pour une seule — des gorges chaudes, nous serions envahis d’un feu d’artifice de dénominations diverses et variées de ces dites unités mercenaires pro-russes dont nous entendrions parler matin et soir et soir et matin, 24 h sur 24. Mais avec Wagner, il est vrai que vous avez du biscuit à vous mettre sous la dent !
Si bien que, le seul nom que vous pouvez utiliser joyeusement, assis derrière votre clavier vous aussi, est celui de Wagner que l’on voit partout par l’opération du saint-esprit narratif occidental ! Wagner fait si, Wagner fait ça, dans les tranchées, hors des tranchées, derrière un char, devant, dessous, etc. etc. Un tel héros célébré dans les lignes des merdias occidentaux, on se demande parfois s’il n’a pas aussi marché sur la lune, fait toutes les guerres, ce kador ! Rambo à ĉoté, c’est de la daube ! 

Il fait tant de choses ce grand Wagner, et puis surtout, il recrute des alcooliques, des repris de justice, des assassins, des tueurs de petits enfants, si bien qu’à côté, l’auréole poutinienne dressée su la tete de Poutine par les occidentaux sera à ranger dans les accessoires historiques du passé. Wagner, ça, c’est du personnage, et Prigogyne, un mec à faire chavirer toutes les brelles du paf — paysage audiovisuel de France et de Navarre !
En plus Wagner, vous rendez-vous compte, des violeurs, des assassins, bref, toute la lie de l’humanité c’est bien connu.
En face, rien ! Des petits anges tous mignons, qui ne savent même pas planter un clou pour exécuter par crucifixion un soldat russe blessé tombé entre leurs saintes mains ! Et même qui ne savent même pas se servir d’un baton, pour lui asséner à cet infortuné soldat blessé russe, un coup dans les couilles, avant de l’achever. De saints-hommes à n’en pas douter !
En face, le couteau entre les dents, le moujik russe trucide à qui mieux mieux tout ce qui se trouve sur son passage ! En plus, le moujik russkof, il boit ! Mazette ! Tu te rends-compte ? De la Vodka ! Des litres, des tonneaux, des barriques entières ! A se demande d’ailleurs si les pipes-lines en Russie ne charriaient pas de la Vodka ! Et même que cela a du tellement énerver les zozoccidentaux qu’ils ont mis fin au transport Nord-tream I et II, inspiré par les épisodes célèbres de la prohibition américaine ! Alcool, Niet !

En face, de braves jeunes soldats courageux et bardés de toutes les qualités du monde à fortiori lorsqu’ils sont au sein de milices à tendance nazies sous l’onction historique bienfaisante et merveilleuse du nonmoins merveilleux Nazi Bandera qui s’illustra, pendant la deuxième guerre mondiale par des crimes contre des milliers de Juifs ukrainiens et de Russes qu’il détestaient et méprisaient, et considéraient comme des « sous-hommes ».
 Ils ne boivent que de l’eau dans une sobriété spartiate qui force l’admiration, au sein des milices bandéristes...
Oh ! Les popovs donc, recrutent des nationalités diverses. Devant un tel imbroglio linguistique, la journaliste bien embarrassée devant une telle Tour de Babel 
où tout le monde parle sa langue natale, se demande — pauvre chérie — de quelle nationalité ce Russe peut-il bien être ? Et si je lui parlais en Patagonais ? Peut-être comprendrait-il quelque-chose à mon sabir journalistique ? Alors je lui pose la question : Ruskoff ou pas Ruskoff ! That is the question ! 
— Da ! 
Ouf ! On est sauvé. 

Mozart, Wagner, quelle symphonie inachevée... 


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