@Francis, agnotologue

Je n’ai pas envie d’engager une lutte avec la stupidité. Cet article, je le développerais, sous une autre forme, ailleurs. Parce que si les gens se désintéressent de leur santé, c’est qu’ils ont décidé de le faire. Le nombre de cancers explose dans le monde, comme l’obésité, l’hypertension, la BPCO, les maladies cardiovasculaires. Et que fait la médecine allopathique ? Elle soigne ? 

Les gens viennent déplorer, à juste titre d’ailleurs, le décès d’un ami, d’un proche, d’un voisin, d’un parent, d’un collègue, « parti trop tôt » d’un cancer, mais qui aura « vaillamment lutté ». Ceci, je ne veux plus l’entendre, parce qu’il serait possible, souvent, très souvent, de se débarrasser de son cancer. Les très nombreux malades du cancer, qui décèdent aujourd’hui, ont tous été suivis par un cancérologue (devenu « oncologue », cela fait moins peur) qui a prescrit des traitements qui n’ont, finalement pas, guéri le malade et qui est décédé. C’est triste, mais c’est le lot de trop nombreuses personnes. Malgré les protocoles appliqués, trop de personnes meurent de cancers. 
En 2018, se sont 157.400 personnes qui sont mortes d’un cancer en France et 382.000 nouveaux cas recensés. 
157.500 personnes suivies par un « oncologue », ayant subi de nombreux traitements, à très grand frais, et qui décèdent. Qui oserait appeler ça « un succès » ? En France, en 2021, 1400 oncologues sont exercice. Une moyenne macabre, montre que chaque oncologue voit le décès de 112 de ses malades chaque année, pas loin de 10 par mois, plus de 2 par semaine. Mais il s’agit de faire « confiance » à son oncologue n’est-ce pas ? 

Et combien de souffrances à la clé ? Le cancer est une maladie métabolique. Il faut donc soigner le métabolisme. Mais ce n’est absolument pas le chemin qui est suivi, malheureusement.