Commentaire de Legestr glaz
sur Faut-il se faire vacciner contre le covid en 2023 ?


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Legestr glaz Legestr glaz 21 mai 2023 09:30

@Joséphine

A plus de 80 ans, si votre système immunitaire est compétent, si vous ne l’avez pas « endommagé » à force d’habitudes de vie délétères, alors vous passerez l’épreuve des maladies respiratoires hivernales et aussi celles liées aux canicules estivales.

Ce sont toujours les mêmes personnes qui sont en difficulté devant les maladies respiratoires hivernales. Leur « profil » est bien connu. Ce ne sont pas les personnes ’« saines » qui décèdent des maladies respiratoires. Ce sont les diabétiques, les insuffisants rénaux, les maladies du coeur, les obèses, les porteurs de maladies dégénératives. Je l’ai écrit maintes fois et ceci est en permanence confirmé.

Les maladies respiratoires hivernales ne « frappent pas au hasard ». Elles s’abattent sur des organismes déjà « malades », sur des personnes dont l’endothélium vasculaire est dégradé, dont le métabolisme est abimé. Les « vaccinations » ne résolvent jamais un dysfonctionnement vasculaire et ne le feront jamais.

Les maladies respiratoires hivernales s’abattent sur des personnes dans le système immunitaire des voies respiratoires est un péril. La présence d’un taux du « glucose » trop important dans l’ASL (liquide des surfaces respiratoires) est une source de dysfonctionnement du système de défense de première ligne. La littérature scientifique nous renseigne très largement sur ce sujet mais le « grand public » l’ignore.

... « La concentration en glucose du liquide de surface des voies respiratoires (ASL) est bien inférieure à celle du sang et est étroitement régulée par l’épithélium des voies respiratoires. La glycémie ASL est élevée chez les patients atteints de rhumes viraux, de fibrose kystique, de maladie pulmonaire obstructive chronique (BPCO) et d’asthme. Une glycémie ASL élevée est également associée à une incidence accrue d’infections respiratoires. »...


https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3605804/

https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/tag/endothelium/


... »Chez l’homme, les concentrations de glucose en ASL sont élevées si l’épithélium des voies respiratoires est enflammé ou si la glycémie est élevée.

Les concentrations nasales de glucose sont indétectables (< 1 mM) chez les volontaires sains, mais détectables chez 50 % des patients présentant des symptômes de rhinite ( 1 mM) et 90 % atteints de diabète sucré ( 4 mM). La glycémie respiratoire est élevée chez les personnes souffrant d’inflammation pulmonaire due à la mucoviscidose (2,0 ± 1,1 mM), avec une hyperglycémie due au diabète sucré (1,2 ± 0,7 mM) et aux concentrations les plus élevées chez les personnes atteintes à la fois de mucoviscidose et de diabète sucré (4,0 ± 2,0 mM ).

Les patients en soins intensifs avec des concentrations élevées de glucose ASL sont plus susceptibles d’avoir une infection respiratoire, en particulier avec Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline(SARM), que ceux avec une glycémie ASL normale.

Les patients atteints de BPCO qui ont également un diabète sucré sont plus susceptibles d’avoir des organismes Gram négatifs cultivés à partir d’expectorations que ceux qui ne sont pas diabétiques.

Par conséquent, le maintien d’un faible taux de glucose ASL est essentiel pour la préservation de la stérilité des voies respiratoires.« ...

Et on comprend que le  »profil«  des personnes qui tombent gravement malades et/ou qui décèdent lors des épidémies de maladies respiratoires hivernales, est en lien avec des taux de glucose sanguin trop souvent trop élevés sur du temps long.


Les mécanismes de défense des voies respiratoires sont »altérés« par un taux de glucose sanguin trop souvent trop élevé, et les »malades« des infections respiratoires hivernales, lorsque la pollution est augmentée, sont très exactement ceux dont le liquide de surface des voies respiratoires -ASL— contient beaucoup trop de glucose, rendant, en partie, inopérant cet ASL et »ouvrant la porte« aux infections respiratoires. Les particules fines et ultrafines de la pollution atmosphériques (PM 2,5, PM1, PM0,, HAP, métaux lourds) peuvent rejoindre la circulation sanguine, produisant un stress oxydatif considérable et une inflammation très augmentée. Nos bactéries commensales le peuvent aussi, entrainant des pneumonies. 

Les maladies respiratoires hivernales concernent au premier chef les personnes souffrant d’hyperglycémie ou montrant des taux de glucose sanguin trop élevé sur du temps long. Ces personnes là ont affaibli leurs mécanismes de défense de leurs voies respiratoires. Elles deviennent très susceptibles aux différentes agressions des matières particulaires issues de la pollution et peuvent tomber gravement malades et décéder.

Lors des phénomènes d’inversion thermique, lorsque la pollution est très augmentée, ces personnes là courent un grand danger. Connaissant leur »susceptibilité« aux agressions des matières polluantes, il serait nécessaire d’adopter des mesures de protection à leur endroit. En identifiant le problème, les actions de protection prennent du sens. En se basant sur la »théorie virale« , aucune mesure de protection n’est jamais prise parce que le problème n’est pas identifié. La théorie virale est un »aveuglement« qui empêche la mise en oeuvre d’actions salvatrices chez les personnes »sensibles« .


Si j’écris tout ceci c’est simplement parce que je suis radicalisé, que je suis complotiste et anti-vaccin, que je ne crois pas en »la Science« . Pourtant, tout ce que j’ai résumé dans ce post est sorti d’études scientifiques très sérieuses et »examinées par les pairs". 




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