L’absence de toxicité immédiate ne fait pas l’innocuité, voir amiante, tabac, distilbène, etc...
On sait que l’effet bénéfique de ce candidat vaccin chez les moins de 50 ans (sans comorbidités) est indiscernable, qu’il n’a nullement empêché la maladie de diffuser et n’avait donc qu’un bénéfice pas fracassant pour une frange de la population.
On sait aussi qu’il a provoqué un taux d’effets secondaires indésirable très remarquable si on le compare à tous les vaccins passés (mais qui avaient eu été dûment testés avant diffusion massive).
On soupçonne que via la protéine « spike » il a contribué à endommager le coeur d’une fraction des personnes ayant servies de cobayes dans cette expérience ni éclairée (dissimulation d’informations, affirmations fondées sur des croyances erronées) ni libre de choix.
Le fait que l’industrie n’ait pas réussi à supprimer tout échantillon témoin joue en leur défaveur, mais le niveau de censure scientifique joue en leur faveur. Personne ne sait le temps que le signal (que je pense inévitable) mettra à sortir du bruit et à apparaître au grand jour.
Les scientifiques comme les « régulateurs » étant largement arrosés financièrement par les grands laboratoires il est douteux qu’ils coopèrent à la recherche de la preuve de l’innocuité ou la dangerosité de ces injections imposées dans la violence. Il y a eu bien trop de complicités imbéciles dans le corps médical, les agences de régulation, la presse, les politiques. Ils vont se serrer les coudes pour que jamais la vérité n’apparaisse s’il devait s’avérer que ces produits étaient bien plus nocifs qu’imaginés.
Se souvenir du consensus passé concernant les OGMs, lui aussi factice et qui a mis des années à s’avérer fondé sur une croyance sans fondement autre qu’un désir ardent qu’elle soit la réalité.
Sauf qu’on ne peut tromper la Nature si on peut espérer tromper longtemps les citoyens.