Commentaire de Géronimo howakhan
sur Nanterre : le refus d'obtempérer ne vaut pas la peine de mort
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@chantecler
Salut, ah je vais aller habiter en Creuse, en quittant l’Irlande sous peu, Irlande d’un passé révolu, qui n’existe plus non plus..les gens jeunes que je connais en creuse ne souffrent pas, ou au pire pas plus que le reste de la planète..
pauvres chéris humains qui souffrons de la faute des autres bien sur, moi est responsable de rien du tout ...ah mon dieu l’horreur de l’apitoiement sur soi même , en voila une souffrance qu’elle est dure à fuir..
ils ne manquent pas de tout et la vie y n’ y est pas ennuyeuse...
sauf pour les habituels et superficiels crétins des alpes..
ici en Irlande ou l’argent pleut, compagnies us obliges, genre Pfizer, ils faut garder un social mou, genre Veau D’Or mais mou, et calme donc pognon qui pleut etc l’ennuie par contre est très très lourd..
et le masque lui même également..
la superficialité la plus extreme est de règle...on fait semblant, on est toujours content, on se suicide de plus en plus etc
c’est la chute de l’humain enfin de sa psyché, qui a dégénérée depuis des millénaires et ne le sait pas , ne le voit pas, ne le sent pas..et pas du tout d’un pays comme cause mais qui est effet de cette chute de l’humain et de sa pensée et elle est globale..
nous avons échoué à vivre par choix, car naître = mourir, et dès que je rencontre le seul absolu de ma vie qui ouvre peut être sur autre chose d’absolu ou du moins de très different ..ceci est un fait..
j’essaye de nier l’absolu, quelle connerie la guerre Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là
Et tu marchais souriante
Épanouie ravie ruisselante
Sous la pluie
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest
Et je t’ai croisée rue de Siam
Tu souriais
Et moi je souriais de même
Rappelle-toi Barbara
Toi que je ne connaissais pas
Toi qui ne me connaissais pas
Rappelle-toi
Rappelle-toi quand même ce jour-là
N’oublie pas
Un homme sous un porche s’abritait
Et il a crié ton nom
Barbara
Et tu as couru vers lui sous la pluie
Ruisselante ravie épanouie
Et tu t’es jetée dans ses bras
Rappelle-toi cela Barbara
Et ne m’en veux pas si je te tutoie
Je dis tu à tous ceux que j’aime
Même si je ne les ai vus qu’une seule fois
Je dis tu à tous ceux qui s’aiment
Même si je ne les connais pas
Rappelle-toi Barbara
N’oublie pas
Cette pluie sage et heureuse
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Cette pluie sur la mer
Sur l’arsenal
Sur le bateau d’Ouessant
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre
Qu’es-tu devenue maintenant
Sous cette pluie de fer
De feu d’acier de sang
Et celui qui te serrait dans ses bras
Amoureusement
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
Oh Barbara
Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Mais ce n’est plus pareil et tout est abîmé
C’est une pluie de deuil terrible et désolée
Ce n’est même plus l’orage
De fer d’acier de sang
Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
Des chiens qui disparaissent
Au fil de l’eau sur Brest
Et vont pourrir au loin
Au loin très loin de Brest
Dont il ne reste rien.
le reste partira avec le premier vent un peu fort...
c’est un suicide collectif, une pulsion de mort nous anime tous sauf exceptions
je veux mourir car je vais mourir........
sauf tout le monde bien sur..
Mon Dieu, qu’avons nous fait ?