Une commission d’enquête aboutirait inévitablement à la conclusion que l’accusé dispose du mobile (les USA se voient en « maître du monde » depuis les années 1940 et feront tout pour le demeurer), des moyens humains et financiers, du contrôle de l’information et des moyens de pression sur les éventuels débordements.
Quand le voleur se fait passer pour le gendarme et recueille tous les témoignages (ce qui est le cas pour les observations documentées) il lui est aisé de les enterrer dans l’oubli en disant qu’il n’y a rien à voir. On est exactement dans ce cas de figure.
C’est un cas de figure intéressant qui pourrait mettre en pleine lumière que dans la « démocratie américaine », non seulement le peuple n’est qu’un troupeau de bétail, mais aussi que leurs « représentants » sont roulés dans la farine et ne valent pas mieux aux yeux de ceux qui tirent les véritables ficelles du pouvoir réel.
La seule perspective de découvrir qu’une infime fraction psychopathe, ennivrée par la perspective d’un pouvoir absolu sur le reste du monde, puisse garder par devoir soi, qui des technologies, qui le savoir que nous ne sommes pas seuls sur Terre, voire bien pire, devrait nous faire froid dans le dos.
On s’achemine pourtant vers ça.
Le GEPAN en son temps avait souligné que le témoignage de gens parfaitement équilibré et intégrés dans la société, à qui on confiait des postes de responsabilité et qui n’étaient en apparence nullement mythomane ni ne cherchaient la célébritié, passerait pour autrement crédible pour n’importe quel tribunal. Or, si ceux à même de savoir (l’armée et les services secrets des USA) disaient explicitement « il n’y a rien à voir », qui pouvait franchir l’obstacle formidable d’un mensonge « d’Etat » courant sur des décennies ?
C’était un peu vite oublier que le mensonge est la première langue des USA, du Golfe du Tonkin aux armes de destruction massive de Saddam Hussein.
On a mis plus de 3000 ans à reconnaître que « des pierres peuvent tomber du ciel », pourtant la « demeure des Dieux », alors je ne vais pas retenir mon souffle en attendant la suite des évènements. Une bataille sanglante va avoir lieu et je suis trop pessimiste pour envisager une issue intelligente.