@Eric F

Quelle faute ?

Aucun mythe mais des faits connus et dument documentés, l’islam a été historiquement plus tolérant et plus respectueux à l’égard des autres religions monothéistes, que ne l’a été le catholicisme qui, en matière de suprémacisme religieux, a décroché le pompon par rapport au monde orthodoxe.

Tout comme le $ionisme est une instrumentalisation du judaïsme à des fins coloniales, c’est l’instrumentalisation de l’islam également pour des buts similaires, d’abord avec la secte wahhabo-$aoudienne contre les ottomans, ensuite avec les frères musulmans contre les « laïcs » comme Nasser, tous soutenus, financés et armés par les anglo-saxons et les régimes arabes à leurs bottes, qui a sciemment entaché l’image traditionnelle de cette religion aux antipodes du suprémacisme fasciste.

Car cette politique criminelle de pompiers pyromanes s’est poursuivie ces dernières décennies contre l’Afghanistan, l’Irak, la Syrie et la Libye, en vous faisant grâce des sanglantes tentatives tuées dans l’œuf en Tchétchénie et Algérie, ou en voie de l’être au Burkina Fasso, Niger et Mali, la ploutocrate française, pour des motifs d’accès aux richesses africaines à bas prix, n’étant pas de reste en la matière.

Pour ce qui concerne la Palestine et en raison de l’interpénétration territoriale entre juifs et non juifs, la dissolution de l’apartheid est un minimum préalable, car facilitant la coexistence des différentes communautés, sans avoir a procéder à de douloureux et massifs déplacements de populations.
La solution a deux états est morte-née et, de fait, grâce aux $ionnards ayant scié la branche les portant, l’état unique et viable existe déjà, il suffit de le rendre vivable pour tous, par étapes concertées, dans la justice, l’équité, le respect mutuel et des frontières définitives internationalement reconnues.

Mais je ne suis pas un bisounours, je m’attends à une opposition armée et « jusqu’auboutiste » des $ionnards indécrottables, donc une phase finale type OAS d’Algérie dans la libération des palestiniens, voire hélas encore plus sanglant. . .