Commentaire de ETTORE
sur Des cabines d'essayage à La Poste
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Désolé Fergus, j’ai raté le bon-jour !
« Négatif ? »
Oui, et voyez vous, je reconnais qu’on « s’en accommode », cahin caha, parce que en fait, le souvenir du temps passé, est encore lénifiant, bien qu’il fasse grandir la faille en expansion , entre ce qu’était la poste « avant » et ce qu’elle « est devenue ».
Ce souvenir folklorique, atténue la colère, mais ne s’aurait durer, aussi longtemps, que l’horizon sombre que cette institution se forge.
La nostalgie, Fergus, c’est comme le rire, c’est la dernière chose qui reste, avant la fin.