Commentaire de Hector
sur La poésie du slam : Mes petits...


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Hector Hector 8 avril 08:48

Bonjour Rosemar,

Il y déjà longtemps, le 28 Septembre 2017 exactement, vous faisiez l’éloge d’un poète disiez-vous ; Boby Lapointe. vous rappelez-vous ?

C’était déjà osé de prétendre trouver chez « Boby » une âme de poète, au sens courant du terme, mais affirmer que le « slam » s’apparente à de la poésie, là, ça ne passe vraiment pas.

Vous descendez encore Rosemar, ou vous arrêterez-vous ?

Alors, pour rendre un humble hommage à nos poètes, j’avais griffonné sur le coin de mon bureau ces quelques vers que je vous envoyais, dédiés.

A Rosemar

Dans les profondeurs sombres de la roche, en sers flancs

Entre deux crêtes aiguës émergeant de l’abîme

Céruse colorée par la nuit qui s’étend

L’écume a abordée aux rivages intimes.

D’une infinie douceur, elle apaise et console

Caresse infiniment le roc prêtant le dos

Elle se veut son amante et le soir elle cajole

L’ennemi de toujours vivant aux bords des flots.

Mais soudain déchirants, illusion vespérale

Un cri, ou plutôt non, un accord dissonant

Que dis-je, un borborygme, une plainte ou un râle

Vint gâcher ce murmure et troubler le moment.

Et je tendais l’oreille à cet odieux chantage

A cette voix vulgaire osant se faire entendre

Sans respect pour l’Amour effleurant le rivage

Ébauche d’un langage que la laideur engendre.

Ta Katy t’a quitté

Ta Katy t’a quitté, tsoin, tsoin

Elkle est pas gentiiiiiiiiiille

Avec sa glace au chocolat et vaniiiiiiiiiiiiiiiille

C’est bo, c’est bobo, c’est bobyyyyyyyyyyyyyyyyyyy !

Vous rappelez-vous ?


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