@JPCiron

le drame, c’est que ce qui ne vaut pas un clou ait provoqué autant de mort que les croisades, la Saint-Barthélémy et Gaza.

Bien sûr, ces fables sont utilisées pour fanatiser des masses entières dans l’intérêt des marchands vénitiens et Génois qui voulaient neutraliser les Turcs Seldjoukides devenus des intermédiaires sur la route de la soie depuis la prise de Constantinople, ou pour instrumentaliser les vassaux des seigneurs catholiques inféodés aux banquiers florentins afin de freiner la montée en puissance des banquiers genevois calvinistes, ou pour briser dans l’oeuf toute tentative d’émancipation de pays à régimes féodaux au Moyen Orient et laisser les sept soeurs du pétrole.
Ce sont des extrapolations abracadabrantesque auxquelles ne croient pas les stratèges mais qui sont des moteurs pour les sapdassins, moteurs aussi puissants que le hashich qui animait les guerriers de Saladin,, tellement cruels qu’ils ont été baptisés « hasichins », mot qui s’esttransformé en « assassin ».
Toute la question tient dans la proportion de ceux qui y croeient et de ceux « qui croient autre chose ».