Quand le coeur n’y est plus, la fête devient cadavérique !

Ce qui vient de se passer dans les urnes, jetteras une teinture particulière sur ces jeux, qui sembleront « TRANSIT-oires » !

Certains y verrons, la dernière danse d’un sabbat , qui n’as que trop duré, avec des coups de balais dans la gueule du peuple, par ceux qui montaient extasiés sur leur manches...

D’autres rêveront d’une Seine, aux couleurs des emmerdes, qu’ils ont vu couler sur leurs vies. Et d’y plonger les marmitons, désormais recuits comme des grattons au fond d’une gamelle plus adhésive.

 D’autres, les menottes olympiques, désormais devenues inutiles, à des poignées, qui semblaient déjà s’être immobilisés en prière, pour se tenir à genoux, implorant les suppliques d’une balle dans la tête.

Oui, c’est un moment joyeux et triste à la fois.

Un peu comme les rires nerveux lors d’un enterrement !

Rien d’indigne, juste l’étonnement d’un vide consenti, et ce vertige légitime de

« pouvoir faire », aussi bien dans l’élimination, que dans la création.

Et en cela, c’est « notre jeu olympien » à NOUS,