@ETTORE
"quel mot, quel bel éventail, quand on sait, que les mêmes qui se plaignent de ne pas être « intégrés » « légalisés » Francisés« , n’ont qu’un seul mot à la bouche, faire valoir leurs différences, et que tous les reconnaissent, et les adoptent DE FACTO."

C’est justement le manque d’intégration qui provoque de tels comportements (minoritaires).

...................................................................... .................................

« C’est justement le manque d’intégration... »... 

Dites, expliquez moi une chose...

Où s’arrête, et où commence «  l’intégration » selon vous ?

Pour moi, être intégré, c’est accepter les règles et lois du pays, qui veut bien vous intégrer sous cette condition, acceptée et institutionnalisé par ses lois.

« Vous restez, vous, mais vous devenez » NOUS « en bonne et due forme de convivialité de vie, sans rien imposer de plus, que nous, nous ne vous imposerons à vous  »

Trouvez vous vraiment, que c’est le cas ?

Alors voyez vous, ce n’est pas tant le « manque d’intégration » qui génère de tels

« comportements », c’est la volonté irascible de certains adeptes d’un prosélytisme caricatural, de faire porter à la communauté d’intégration, la somme de leurs deux prédispositions, dont ils se sentent porteurs légitimes, à un point tel, qu’ils en arrivent à oublier, qu’on ne peut leur donner, que la liberté, que nous mêmes usons, et déclarons, ,pour vivre en bonne entente.

Ceux qui veulent à tout prix y inclure leurs deux cultures ( celle de naissance, et celle du ressenti de haine, nés de leurs religions , ou de leurs conditions passées, même par simple prédisposition de mémoire )n’ont rien à faire valoir, ni à demander ici.

Les croisades, commencent par être menés dans leurs propres pays, où jamais ils n’auraient droit à la moindre expression de cette liberté, qu’il honnissent, et qu’ils trahissent, et dont ils se gardent bien d’exprimer les travers, dans leurs pays d’origine, dont ils se disent, ,pourtant, seuls héritiers des valeurs...... d’extorsion.

L’intégration, n’est pas à sens unique.

(Je viens, Tu me donne, et je ne te dois rien, mais toi, oui)

Et chaque ethnie, race, peuple, devrait être responsable de sa propre image, unitairement, et pour la globalité.

Et pas seulement, rassembleur, par une cinématique de haine, pour fédérer paresseusement, sur des valeurs, dont, même le porte drapeau de l’action sectaire, n’as pas, n’auras jamais, et n’as jamais eu !

On ne peut pas demander à être « intégré » sur le seul apport qu’on dépose en dot, qui n’est qu’un « vide d’errance », soldé, par une acculturation de sa propre histoire.