Commentaire de Legestr glaz
sur Le langage des cellules
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@Eric F
Une étude récente a examiné les effets néfastes d’un mode de vie toxique, de facteurs iatrogènes, biotoxiques, environnementaux/professionnels et psychosociaux/socio-économiques sur la santé du système immunitaire, directement ou indirectement.-Mode de vie (p. ex., mode de vie sédentaire, tabagisme, consommation d’alcool, abus de drogues, régime alimentaire de type occidental (régime riche en graisses, aliments ultra-transformés, sucre et céréales raffinées), privation chronique de sommeil, etc.) ;
- -Iatrogènes (par exemple, immunosuppresseurs, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), acétaminophène (paracétamol), stress chirurgical, anesthésie, médicaments psychotropes (antidépresseurs, antiépileptiques et antipsychotiques), antibiotiques, produits nanomédicaux, vaccins avec adjuvant, radiothérapie ionisante, etc.) ;
- -Biotoxines/biomatériaux (p. ex., aflatoxine, ochratoxine, toxine T-2, anatoxine-A, mycotoxines, microcystine-LR, cyanobactéries alimentaires toxiques, yessotoxine, venin de scorpion, Streptomyces californicus, Pseudomonas aeruginosa, rhinovirus, virus respiratoire syncytial, etc.) ;
- -Professionnel/Environnemental (p. ex. produits chimiques perturbateurs endocriniens, microplastiques, métaux lourds, pesticides, nanoparticules, acide perfluorooctanoïque (PFOA), biphényles polychlorés (PCB), hydrocarbures polyaromatiques (HAP), perfluorooctanesulfonate (PFOS), particules fines, pollution de l’air, acrylamide, sous-produits de désinfection halogénés aromatiques, benzène, benzo(a)pyrène, pétrole brut, corexit, fluorure de sodium, rayonnement ultraviolet (UV), téléphones portables ou mobiles et autres appareils de transmission sans fil (WTD), y compris les téléphones sans fil, les tours de téléphonie cellulaire et le Wi-Fi -Fi, etc.) ;
- -Psychosocial/socioéconomique (p. ex., dépression, stress chronique, stress lié à la contention, isolement social, événements stressants de la vie, adversité dans l’enfance, etc.).
Le concept clé ici est que le lien entre la combinaison virus et facteurs de stress toxiques détermine le résultat final en matière de santé, et pas nécessairement l’un des constituants isolément.
La réponse des gouvernements du monde entier au COVID-19 a été basée sur la virologie, sans tenir compte des problèmes toxicologiques.
Si la responsabilité de la pandémie peut être attribuée au seul (ou principal) constituant de la combinaison virus-agents de stress toxiques sans le soutien des puissants acteurs susmentionnés, alors ces acteurs de la production et/ou de la consommation sont protégés de toute responsabilité (et des conséquences juridiques qui en découlent). conséquences des décès survenus et attribués au SRAS-CoV-2/COVID-19 et aux milliards de dollars de perte de revenus dans l’économie mondiale résultant du confinement.
« En attribuant la responsabilité de la pandémie à Mère Nature plutôt qu’à ceux qui portent la responsabilité majeure de la préparation du terrain, nous garantissons que ces pratiques néfastes et les pandémies qui leur sont associées (y compris les décès annuels des groupes démographiques les plus vulnérables liés aux soi-disant épidémies de grippe/ pandémies) se poursuivra sans relâche. »