Commentaire de xana
sur Et si on aimait la France
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J’ajouterai que pour moi le choix était le suivant : Entrer en résistance active, ou quitter mon pays. La soumission était exclue.
J’étais alors plutôt pacifique, je n’ai pas voulu faire le coup de feu contre d’autres Français qui ne pensent pas comme moi. Après tout, eux avaient sans doute d’excellentes raisons de choisir la dictature.
Je suis désormais un exilé, mais je n’ai pas encore du sang sur les mains.
Pour le moment.