La conception débile de l’écologie des zékolos de pacotille refuse de s’attaquer à l’origine ultime des désordres subis par la planète et par l’humanité,

qui n’est pas du tout à chercher parmi les conséquences :

• ni les « zénergies fossiles »,

• ni l’agriculture industrielle,

• ni les émissions de gaz à effet de serre,

• ni le tsunami des plastiques,

• ni la panacée trompeuse des zénergies renouvelables,

• ni la réalité des déchets du nucléaire, ...

Mais bel et bien => l’avidité, moteur exclusif du capitalisme financier.

Pour ceux qui veulent réfléchir.

Remplacer l’avidité par l’utilité, les marchés mondialisés par l’autosuffisance, les pollutions par le respect du vivant, …,

est impossible sans passer par une crise majeure,

qui ruine toutes les bourses mondiales,

fait disparaître la totalité des entreprises à profit des feignants actionnaires,

et libère tous les salariés de l’aliénation des activités imposées « pour gagner sa vie », ….