Commentaire de Hervé Hum
sur De la nécessité impérieuse, pour l'économiste, de mettre les mains dans le cambouis de l'exploitation...


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Hervé Hum Hervé Hum 14 décembre 2024 18:26

@Michel J. Cuny

Bon, je vois qu’on est dans un dialogue de sourds.

Je finirais donc par ce commentaire, puisque vous ne répondez pas, vous vous citez vous même en me renvoyant vers des liens qui sont de même nature que les précédents.

le fond cher Mr Cuny, c’est le principe du capitalisme, qui est la prédation à l’échelle humaine, fondée sur l’exploitation ou utilisation du temps de vie d’autrui à son profit. Contrairement à l’animal, il ne mange pas d’un coup le temps de vie de sa proie, mais il le met en devoir d’exécuter sa volonté. Que ce soit un animal ou un être humain dont il a trouvé le moyen de le lui faire supporter, accepter et obéir aux ordres reçus..

Cela veut dire qu’il y a de capitaliste que par la prédation et qui ne dépend pas d’une forme quelconque, mais de sa condition d’existence, la prédation du temps de vie d’autrui à son profit.

Bref, Voltaire n’est qu’une personne répondant à la définition du capitaliste de base, mais ce n’est pas lui qui défini le principe, il l’applique uniquement.

Autrement dit, peu importe Voltaire ou non, c’est l’inertie du système dont la logique doit être suivie pour atteindre le but fixé, soit, la prédation du temps de vie d’autrui à son profit.

Il est donc absurde de dire que Voltaire ait à voir quelque chose avec la 1ère et seconde guerre mondiale, celles-ci étant motivés par la lutte contre le communisme.

La guerre entre les nations n’est qu’un faux nez. Comme le disait Felix Faure (dont vous trouverez ou avez trouvez beaucoup à redire j’imagine) « on croit se battre pour la patrie, on se bat pour les industriels »

mais on peut le généraliser en disant « on croit mourir pour la patrie, on meurt pour les capitalistes ».

Autrement dit, du prélats jusqu’aux bourgeois en passant par la noblesses, on a la les différentes formes de capitalistes. Chacun motivant de prélever l’impôt à sa manière, ils ont pour but la prédation du temps de vie d’autrui à leur profit. Pour l’essentiel, le travailleur, celui qui est payé 1 francs par jour au temps de Voltaire.

si votre prochain commentaire est de même nature que les précédents, je vous renvoi aux miens déjà écrits.

Bonne soirée


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