Remplir les « vides » par tout et n’importe quoi, une fois ayant créé, par des lois verdâtres, la décharge qui paye, c’est le modus vivendi, de cette société, qui se fout royalement du demain, tant que le présent assure leur futur radieux.

On pourrait croire que, évidement, parallèlement à ces boites zézé’électrifiées, les bornes de rechargement, les infrastructures énergétiques, les centres de recyclage, tout cela serait opérationnel, à l’arrivée de ces bidules zézérants..

Que nenni ! Il faut que le nombre des véhicules rendus immondices, devienne conséquent, pour devenir rentable, pour que soit envisagé un potentiel recyclage, qui s’avérera toujours inférieur à la production de masse pour remplissage .

C’est pas si simple d’inventer une « niche » technologique, quand la mangeoire déborde à tout vas, pour les cabots affamés , et tenus en laisse par une « prise »