Commentaire de SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
sur L'installation du nouveau Conseil Constitutionnel présidé par Richard Ferrand


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La bête de l’événement est-elle effectivement là ? (version augmentée)
Auteur(s)
Xavier Azalbert, France-Soir

Et auquel cas, de quel événement s’agit-il ? Qui est-elle vraiment, cette bête ?

Quelle est sa véritable nature ? Son rôle ? Et, qui est la personne ou l’entité qui l’incarne ?

Postulat de départ ayant été pris que « la bête » de l’événement est là, d’abord efforçons-nous d’indiquer avec exactitude de quel événement il s’agit, et, ensuite, efforçons-nous de déterminer laquelle des deux hypothèses évoquées en présentation est la plus plausible. Et pourquoi.

Je l’ai déjà affirmé à plusieurs reprises dans cette rubrique, l’événement dont Emmanuel Macron fait état quand il déclare que la bête de celui-ci est là, « qu’elle arrive », c’est la destruction totale de la France. Sa destruction tant matérielle (industrie, économie, services publics et infrastructures), qu’institutionnelle (régime politique et système monétaire), historique, civilisationnelle et culturelle. La raison à cela est simple. Le système actuel est arrivé à son terme. Au bout de ses possibilités pour ce qui est de servir les intérêts de ceux qui en profitent. En place depuis la fin « des 30 glorieuses » (à savoir jusqu’en 1973), il est basé sur la collusion et la corruption généralisée des élites, une association de malfaisants qui s’adjoint les services d’un mensonge institutionnalisé, subventionné et intervenant dans quasiment tous les domaines, afin de permettre à ces élites d’exploiter le peuple à leur profit. Notamment un accaparement de la richesse produite par la valeur travail qui a augmenté de manière exponentielle sous l’ère Macron. Le tout accompagné de la réduction des libertés publiques et privées, et de la coercition policière et judiciaire féroces nécessaires à mâter la contestation populaire opposée à cette félonie.

Mais voilà. À trop tondre le mouton, il a le poil ras. Tant s’agissant de ne plus avoir de laine sur lui, que de se hérisser, se muer en loup qui n’a plus rien à perdre.


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