Commentaire de Jean Keim
sur Ces élections qui nous tuent, et ces banksters qui nous asservissent
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Quand nous commençons une phrase par ‘’je crois que...’’ ou sa variante ‘’je pense que...’’, dans une inconscience quasi totale, nous annonçons la nature de ce qui va suivre après.
Ce qui va suivre après sera ce que nos mémoires nous suggèrent, notre mode de penser nous met sur des rails et donc en mode plus ou moins automatique, à l’instar d’un magnétophone, nous répétons-débitons à l’envi le contenu de nos savoirs.