Taxer le capital ne saurait suffire à en stopper la croissance démesurée, la richesse n’ayant pas d’autres limites que celles des ressources dont la tirent ceux qui la convoitent.

Par contre, l’arrêt de la prolifération des consommateurs que sont avant toute autre considération les humains, ne pourrait qu’être décisive.

En effet, quand l’humanité en est à consommer ou simplement gaspiller ou saccager en moins de 6 mois ce que la nature lui offre pour vivre un an (Cf. les alertes du Club de Rome il y a plus de 50 ans, et “Notre empreinte écologique” aux éditions Écosociété), sa prolifération n’est plus favorable qu’à ceux qu’enrichit une économie générée par ses besoins vitaux ou accessoires.

Le syndrome de l’autruche

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