Commentaire de Hervé Hum
sur M. Le Pen : inéligibilité, la course à l'échalote
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@Hervé Hum
dites, vous croyez me faire prendre des vessies pour des lanternes ?
Ce que vous écrivez revient à condamner verbalement, mais pas physiquement, c’est ce qu’on appelle une « remontrance » comme jugement d’un acte qui implique une condamnation minimale en respect de ce qu’autorise la loi et en considération des circonstances soit aggravantes, soit atténuantes
Alors, les peines sont elles plutôt coté minimalistes ou bien maximalistes ?
De mon point de vue, elle sont plutôt minimaliste au regard des faits reprochés et retenus et enfin, face au déni de Marine le Pen à reconnaître la gravité des faits, tout en étant considérée comme le centre de gravité des détournements et qui lui sont personnellement profitable.
Car elle n’ira pas en prison, comme les autres !
Alors vous pouvez toujours pointer du doigt les petits copains qui savent mieux éviter de se faire prendre, tel Bayrou au bénéfice de l’absence de preuve formelle comme donneur d’ordre et du fait qu’il est du coté du pouvoir exécutif en place, mais dans le cas présent, elle s’est faites prendre la main dans le sac et dit que c’était normal et s’indigne d’être condamnée.
Pour finir, la démocratie ne consiste pas à suivre un chef car c’est la définition de la dictature, mais de suivre un idéal où il ne s’agit donc pas d’élire un chef, mais un exécutant, d’où le terme de pouvoir exécutif de la volonté générale et non du pouvoir exécutif de la volonté particulière du chef. Car la volonté générale est dans tous les pays (sans manipulation par une élite prédatrice) la même, vivre du fruit de son propre travail sans être volé ou voler celui d’autrui à son profit, pour garantir au mieux de vivre en paix relationnelles avec ses voisins au sein de sa famille, quelle que soit sa forme.