@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
La remise en cause du célibat des prètres ne serait même pas du « progressisme » mais un retour de 1000 ans en arrière. Preuve que revenir en arrière n’est pas toujours si mauvais, n’est-ce pas ? Mais l’église catholique romaine ne voudra jamais admettre mille ans d’erreur (à cause principalement de Charlemagne). Donc, pour séduire inutilement les non-croyants « progressistes », ils vont prétexter une mauvaise raison : « on s’adapte ». Et ce sera précipiter encore plus la chute. Si tout s’adapte, à quoi sert une église censée garder les fidèles dans une tradition éprouvée ?