Magnifique travail de propagande. Rien ne manque, sauf... la subtilité.

Les champs lexicaux :

Tyran Poutine : Diable, seuelent réelu avec 80% des voix.

l’âme d’une Ukraine agressée : Ah ? Et n’avait-elle pas mobilisée sur armée pour frapper les république ? Mais pourquoi donc les tirs avaient-ils repris entre le 16 et le 22 Février. Je ne vous remet pas l’interview de Monsieur Paré, vous l’avez recue.

 joug soviétique : Avons-nous aussi le droit de dire cela de la macronie que beaucoup d’entre nous n’ont pas choisi, mais subissent ? Ceci dit, très bon choix d’adjectif, pour ne pas laisser le lecteur réfléchir. La construction des champs lexicaux est magnifiquement cohérente pour bien s’assurer qu’il n’y ait aucun doute et que toutes les fautes soient d’un côté.

Sinon, j’ai adoré vos différentes remarques :

Une rumeur, non vérifiée, prétend que Zelensky, dans les nuits sombres, doute de sa force.

Bien trouvé pour humaniser et faire aimer le Zel. Evidement, ses adversaires ne douterons pas que Zel ne trouve toute la force necessaires dans ses comptes en banques qui s’arrondissent au fil de la boucherie des ukrainiens. (Mais vous ne nous ennuierez pas avec ce détail nuisible dans votre article habgiographique. 

l’Ukraine ayant un gouvernement démocratiquement élu et une société pluraliste,

Ah bon ? Démocratiquement élu, Ianoukovitch l’était, il a été chassé. Depuis les élections ne mobilisent que les électeurs encore sous l’autorité du gouvernement de Kiev. Cela ne saurait prétendre représenter l’Ukraine de 1991. 
Et Encore, puisque des dizaines de partis et de médias sont interdits et que votre pays si démocratique compte une police politique (Le SBU) de 30 000 hommes dont on se demande bien l’utilité dans votre démocratie pluraliste.

Ou bien la jolie :

Cette agression, condamnée par la Cour pénale internationale, bafoue le droit international.

Auriez-vous l’amabilité de m’indiquer la décision de la cours pénale internationale ? La seule que je connaisse est un mandat d’ammenner contre V.Poutine dans l’affaire des enfants, sujet détaché de la décision russe d’intervenir dans le conflit entre l’Ukraine et les républiques.

Mais, entre nous, je doute que vous en soyez capable, une décision sur la légalité de l’OMS en droit international, serait du ressort de la cours Internationale de Justice, instance différente.

Merci d’avoir essayé, mais certain jour, vous me donnez l’impression de douter de l’intelligence de vos lecteurs.