Bonsoir Olivier

piccouze, Arn messager, covid...Etc etc

ça c’est le cadre, fourre tout, où on as beaucoup « fourré » justement !

Désolé pour les morts, désolé pour ceux qui se sont fait avoir, désolé pour ceux qui ont été obligé de se faire avoir, désolé, pour les mis de côté, parce que leur réflexion était teinté d’intelligence, et on fait l’amalgame révélateur de tout ce qu’ils voyaient et entendaient, pour en faire un motif salvateur, de refus, NET !

Mais ça, c’est « le coude à la fenêtre » devant la vie qui défile...

Et a vie qui défile, ,parfois, on se demande, si les ordures du bas côté, n’y sont pas trop amoncelées, pour laisser un habitat de vie à certains homoCULes, qui s’y complaisent, s’y reproduisent, et se nourrissent des débris les plus repoussants, d’une civilisation, qui n’arrête pas de remettre en lice, ,les mêmes audits sauvages, chez les mêmes crapules dégénérés.

Je n’oublierai jamais, à quels jeux de médiocrité honteuse, cet état c’est livré !

Je n’oublierai j’aimais, la bêtise crasse de certains mous du bulbe, qui pensaient trouver dans ces exactions, motifs à se vautrer supérieurs, au yeux de tous, dans la pire des couverture, celle de la déchéance humaine, portée à fleur de chair.........

Je n’oublierai jamais, les crapules qui se laissaient aller, au souvenir de leur ancienne vie de kapo, inachevé, pour rejouer LE gardien de stalag, qui leur donnait cette jouissancen d’être dans le moove, avec plus salopard que lui, en couverture, sur ses épaules.

Je n’oublierai jamais, ces tondus de l’esprit, réclamant des camps pour les

« résistants »....

Je n’oublierai jamais, ces volontaristes de l’étouffement par sachet poubelle.

( poubelle dont ils sont sortis à la naissance, bien mal a propos, et dont il peinent à refermer le couvercle, tant leur talent de judas empeste la pourriture d’incivilisation crasse )

Alors voilà OLivier, merci pour cette « gerbe » posée, sur notre histoire passée...Et peut être encore à venir, si ce foutu pangolin, persiste à se payer la pov’ chauve souris aveugle...

Mais hors ces jeux, d’une lubricité digne d’un manga X, les dégâts occasionnés par cet épisode d’épizootie épique du zélé « coute que coute », certains resteront marqués à jamais.

Par la peur, par les séquelles, et particulièrement par la honte, d’être ce qu’ils sont depuis toujours, c’est à dire des damnés au garde à vous, mobilisables, parce que ;......Fiers d’être jetables !

Des codes barres mal barrés !