Commentaire de Étirév
sur Euthanasie 2025 (3) : l'examen de la proposition Falorni à l'Assemblée
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Tout d’abord, souvenons-nous que, suivant l’ancienne Loi qui régnait aussi bien chez les Celtes que chez les Israélites, le mot « AGAPE » désignait les réunions données le 7ème jour. Ce 7ème jour était un temps de repos ; c’était un jour CONSACRÉ, c’est-à-dire donné aux unions.
A propos des festins du vendredi et des noces qui étaient les agapes des Mystères, dans son ouvrage, « La République des Champs Elysées », Charles Joseph de Grave montre comment cette fête religieuse entra dans les mœurs : « Après avoir consacré les six premiers jours à des travaux et des devoirs, les législateurs ont proclamé le septième jour « libre ». « Vrydag », nom du vendredi, signifie « libre jour » (en allemand « Freytag », en anglais « Friday »). Le 7e jour était destiné à la célébration des noces. Sous ce rapport, l’amour présidait aussi à ce jour. C’est de là que le mot Vry a donné naissance au verbe Vryen (en Néerlandais) qui, dans l’usage du peuple moderne, signifie « faire l’amour ».
Le vendredi s’exprime en latin par le mot « dies Veneris », « jour de Vénus », « jour de la Femme » car « Vénus » à la signification de Femme. Alors, sans doute, Femme Divine.
On a jeté tant de défaveur sur le vendredi, qu’il en est résulté un préjugé singulier contre ce jour, préjugé qui se soutient encore par l’effet d’une tradition sourde, quoiqu’on en ait perdu la raison. Dans l’opinion vulgaire, le vendredi est devenu un jour funeste et de mauvais augure. Et le vendredi, « jour de Vénus », a été remplacé par le dimanche, « jour du Seigneur ». Toujours la substitution des sexes accompagnée du renversement des idées. L’ancienne Loi donnait un jour sur sept à l’union ; la loi masculine fera du dimanche un jour d’abstinence et donnera à la licence masculine six jours sur sept.
Dans la Loi morale, formulée par Myriam, surnommée « Ha-Thorah » (« La Loi »), le 3ème Commandement disait texto : « Rappelle-toi le jour du repos pour le sanctifier. Six jours tu travailleras et tu feras toute ton œuvre, le jour septième est le repos pour Hevah, ta Déesse. Non tu feras toute, aucune œuvre, toi et ton fils et ta fille, ton esclave et ta servante et ta bête et ton étranger, qui est dans tes portes, car en six jours (Jours solaires) a fait Ælohim les cieux et la terre et la mer et tout ce qui est en eux et il s’est arrêté au jour le septième (la 7ème manifestation phénoménique qui fut la génération). Ce pourquoi Hevah a béni le jour du repos et l’a sanctifié (en en faisant le jour consacré à la Femme pour la génération ; c’est l’origine du sabbat). »
Le sabbat, qui était le samedi saint, était le jour sacré, attendu, où le désir de l’homme, contenu pendant les six jours de la semaine, allait enfin trouver une satisfaction légitime, approuvée, sanctifiée, attendue par la femme elle-même, heureuse de se donner à qui a su la mériter par une chaste attente.
Les relations sexuelles n’ayant plus été réglementées par LA RELIGION NATURELLE, la licence masculine, dès lors, entraîna un accroissement anarchique de la population mondiale.
Ainsi, en cette Fin de Cycle (ou Fin d’un Monde), l’explosion démographique planétaire inédite du XXème siècle a vu la population mondiale multipliée par 2,4, et passée de 2.5 milliards d’habitants en 1950, à 6 milliards en 1999 ; elle est de plus de 8 milliards en 2023.
Robert McNamara, ancien secrétaire d’État à la Défense des États-Unis d’Amérique (celui qui ordonna le bombardement massif du Vietnam) et ancien président de la Banque Mondiale, membre également du « Council on Foreign Relations » (CFR), de la Commission « Trilatérale », du « groupe Bilderberg » et du « Lucis Trust », puissante association reconnue par l’ONU, et dont dépendent les mouvements pseudo spiritualistes du « New Age », déclarera : « On doit prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations… Pour réduire la population terrestre il faut augmenter le nombre de décès et diminuer le nombre de naissances… Cela aura lieu, soit par le biais de mesures humaines soit par un coup d’arrêt malthusien ».
Ainsi se développera, s’intensifiera et se banalisera l’usage des contraceptifs, des avortements, de la stérilisation et peut-être, bientôt, de l’euthanasie. Et pourquoi ne pas, dans le même temps, augmenter la souffrance des gens et les pousser au désespoir et au suicide, encourager la sodomie, défendre la pédophilie, provoquer des famines, des épidémies, voire même des pandémies fictives qui justifieraient un empoisonnement médical « scientifiquement correct », ou bien encore, comme tous les grands « bouchers » de l’histoire, déclencher des guerres ici où là, des conflits mondiaux… nucléaires… apocalyptiques ?
Aussi, pour ce genre d’individu, la société c’est le malheur, c’est la misère, le néant, la mort ; ils la veulent ainsi.
Nous, nous la voulons autrement. Nous voulons la vie et tout l’épanouissement de l’être.
En parlant d’euthanasie, certains imbéciles parlent même d’ « euthanasier la mort ». À ce sujet, rappelons les propos délirants de l’un des prosélytes du transhumanisme en France, Laurent Alexandre, propos parus dans « Le Monde » du 03/11/2015 : « Dieu n’existe pas encore : il sera l’homme de demain, doté de pouvoirs quasi-infinis grâce aux nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. L’homme va réaliser ce que seuls les dieux étaient supposés pouvoir faire : créer la vie, modifier notre génome, reprogrammer notre cerveau et euthanasier la mort. »
Alors, après l’adhésion satisfaite d’une myriade de « fidèles », tout d’abord soi-disant « libérés », puis « branchés », ensuite « câblés », et aujourd’hui « connectés », voici venu le temps des « transhumanisés » ?
NB : Pour achever l’éclatement de la famille, du système d’éducation, donc de la Société en général, il est primordial d’encourager la « Liberté Sexuelle » à tous les échelons de la Société Occidentale… Il faut réduire l’individu, donc les masses, à l’obsession de satisfaire leurs instincts primaires par tous les moyens possibles. Nous savons que cette étape représente le point culminant par lequel toute Société finira par s’effondrer sur elle-même. N’en a-t-il pas été ainsi de l’Empire Romain à son apogée, et de toutes civilisations semblables à travers l’histoire ?... Par des hommes de Science et des laboratoires financés par nos Loges, nous avons réussi à faire mettre au point un procédé chimique qui révolutionnera toutes les Sociétés Occidentales, et reléguera aux oubliettes pour toujours, les principes moraux et religieux Judéo-Chrétiens. Ce procédé, sous forme de pilule, ouvrira la voie toute grande à la « Liberté Sexuelle » sans conséquences, et poussera les « Femmes » des Nations à vouloir briser avec ce qui sera alors perçu comme étant le joug du passé… Jadis « Centre et pivot de la cellule familiale », la femme moderne, maintenant en tant qu’individu indépendant, voudra briser avec son rôle traditionnel, se détacher de la famille, et mener sa vie selon ses propres aspirations personnelles. Rien de plus naturel, nous le savons, mais là où nous interviendrons fortement, ce sera d’infiltrer tous les nouveaux « Mouvements de Contestation Féminins » en poussant leur logique jusqu’à ses extrêmes limites de conséquence (l’éclatement définitif de la famille traditionnelle)… Cette porte ouverte pour l’encouragement à la « Liberté sexuelle », au « Divorce », à « l’Avortement » sur demande, à la reconnaissance légale des diverses formes d’homosexualité nous aidera à modifier en profondeur les bases historiques du « Droit Légal » des Sociétés. Elle sera un atout majeur pour pousser l’ensemble des individus à un relâchement général des mœurs ; pour diviser les individus les uns par rapport aux autres, selon leur instinct et leurs intérêts propres ; pour détruire l’avenir de la jeunesse en la poussant aux expériences néfastes de la sexualité hâtive et de l’avortement ; et pour briser moralement les générations futures en les poussant à l’alcoolisme, aux drogues diverses, et au suicide. Décevons la jeunesse des Nations en lui montant ses parents comme étant irresponsables, irréligieux, immoraux ; ne cherchant, en définitive, que le plaisir, l’évasion et la satisfaction effrénée de leurs instincts au prix du mensonge, de l’hypocrisie et de la trahison. Faisons du divorce et de l’avortement une nouvelle coutume sociale acceptée par tous. Poussons-la ainsi à la criminalité sous toutes ses formes, et à se réfugier en groupes distincts, hors d’atteinte du milieu familial qu’elle percevra, inévitablement, comme étant une menace pour sa propre survie.
Pour rappel, l’année 2017 c’est 420 millions de pages « porno » sur internet, 4.2 millions de sites Web « porno », 68 millions de requêtes « porno » dans les moteurs de recherches chaque jour, et 116 000 sur la pornographie infantile.
2017, c’est aussi 3 milliards d’internautes ayant visité des sites « porno ». 25% de toutes les requêtes des moteurs de recherche était en relation avec la pornographie, et le terme le plus recherché était le très sobre et implicite « sex » ou « sexe » en français.
En France, en 2022, c’est 2,3 millions de mineurs qui, chaque mois, fréquentent des sites pornographiques ; un chiffre en augmentation chaque année. Dès 12 ans, plus de la moitié des garçons se rend en moyenne chaque mois sur ces sites, ils sont près des deux tiers à s’y rendre entre 16 et 17 ans. En moyenne, 12% de l’audience des sites adultes est réalisée par les mineurs.
Soulignons qu’à elle seule, la production américaine de « porno » rapporte près de 3 milliards de dollars par an.
LA CHUTE ?