Commentaire de Julian Dalrimple-sikes
sur RITALINE et RISPERDAL : le duo gagnant de Big-pharma


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Julian Dalrimple-sikes Julian Dalrimple-sikes 2 juin 12:46

@Julian Dalrimple-sikes

Cela dit, combien de 10 de milliers d’années faudra t’il pour comprendre et voir que nous ne sommes pas des victimes mais les seul créateurs du désastre humain, mot minimaliste dans ce cas car notre démence volontaire dépasse tous nos mots..
Pas des victimes du grand méchant loup sauf de nous même et que ce monde dément, odieux infâme stupide et criminel n’est que l’expression extérieure de ce que nous sommes au fond de nous, sauf tout le monde car nous mettons un soin et une énergie à écrire une fausse histoire de chacun, pour faire le beau et paraître à mes yeux..comme à ceux des autres, car moi je suis génial..
tous en quête de plus , en faisant semblant que non, alors que c’est ça qui nous fait lever le matin, et ceci se fera sur le dos des autres, par le biais de la compétition entre tous, processus qui élimine et le biais d’une pseudo société camp de concentration , le maître au mirador et la masse dans le camps, masse où tout le monde se tape dessus , vole les autres, sont jaloux, envieux, mauvais etc
le simple fait que d’une manier x , y ou z ,je suis aussi cette compétition dès l’école, où je crois que les maigres talents qui me furent donné pour rien par l’Origine
Or c’est bien la masse qui a créé le maître au mirador..
on ne peut plus s’en sortir......on ne comprend rien du tout de ce que nous faisons ni des racines du désastre en chacun, sauf moi moi moi..
demain on rase gratis et c’est déjà ça, le piège marketing par excellence car demain n’existant pas le coiffeur parisien qui avait eu l’idée de cette pub attrape couillon, devant le gars qui revenait le lendemain se faire raser gratis, montrait le panneau
 où était écrit : demain on rase gratis.
la compétition élimine, créé un chef qui sera mauvais
la coopération additionne , la vraie coopération naturelle, pas besoin de penser, est 
équitable car une telle psyché en voit en instantané,sans jamais analyser, tous les tenants et aboutissants psyché et autres capacités non analytiques, pas de MOI, capacités que avons détruites au simple prétexte d’un être enfin de sa pensée programme limité à ce qui est pratique, or la chose ne meure pas, donc moi non plus !!!
FAUX !
en total panique devant la vie car naître = mourir, de moi d’bord et moi seulement qui signe la primauté d’une seule capacité sur toues les autres..
Sans aide « divine », je ne parle pas là de religion organisée bien sur, pas de salut pour nous, nous avons créé un enfer et en acceptons toutes les souffrances, au cas où j’arriverai à bien voler les autres et m’en mettre plein les fouilles, maie voila les gagnants eux ils coopèrent pour niquer les masse d’abrutis, par nous mêmes bien sur, auto abrutis donc, que nous sommes, les masse elles ne coopèrent sur rien du tout..c’est même ça qui a créé ce maître
Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.

Il y a trois sortes de tyrans. Les uns règnent par l’élection du peuple, les autres par la force des armes, les derniers par succession de race.

Pauvres gens misérables, peuples insensés, nations opiniâtres à votre mal et aveugles à votre bien ! Vous vous laissez enlever sous vos yeux le plus beau et le plus clair de votre revenu, vous laissez piller vos champs, voler et dépouiller vos maisons des vieux meubles de vos ancêtres ! Vous vivez de telle sorte que rien n’est plus à vous. Il semble que vous regarderiez désormais comme un grand bonheur qu’on vous laissât seulement la moitié de vos biens, de vos familles, de vos vies. Et tous ces dégâts, ces malheurs, cette ruine, ne vous viennent pas des ennemis, mais certes bien de l’ennemi, de celui-là même que vous avez fait ce qu’il est, de celui pour qui vous allez si courageusement à la guerre, et pour la grandeur duquel vous ne refusez pas de vous offrir vous-mêmes à la mort. Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. D’où tire-t-il tous ces yeux qui vous épient, si ce n’est de vous ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte ? Les pieds dont il foule vos cités ne sont-ils pas aussi les vôtres ? A-t-il pouvoir sur vous, qui ne soit de vous-mêmes ? Comment oserait-il vous assaillir, s’il n’était d’intelligence avec vous ? Quel mal pourrait-il vous faire, si vous n’étiez les receleurs du larron qui vous pille, les complices du meurtrier qui vous tue et les traîtres de vous-mêmes ? Vous semez vos champs pour qu’il les dévaste, vous meublez et remplissez vos maisons pour fournir ses pilleries, vous élevez vos filles afin qu’il puisse assouvir sa luxure, vous nourrissez vos enfants pour qu’il en fasse des soldats dans le meilleur des cas, pour qu’il les mène à la guerre, à la boucherie, qu’il les rende ministres de ses convoitises et exécuteurs de ses vengeances. Vous vous usez à la peine afin qu’il puisse se mignarder dans ses délices et se vautrer dans ses sales plaisirs. Vous vous affaiblissez afin qu’il soit plus fort, et qu’il vous tienne plus rudement la bride plus courte. Et de tant d’indignités que les bêtes elles-mêmes ne supporteraient pas si elles les sentaient, vous pourriez vous délivrer si vous essayiez, même pas de vous délivrer, seulement de le vouloir.

  Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres. Je ne vous demande pas de le pousser, de l’ébranler, mais seulement de ne plus le soutenir, et vous le verrez, tel un grand colosse dont on a brisé la base, fondre sous son poids et se rompre.

  La Boétie, extrait du Discours de la servitude volontaire

intégralement désespérant, et les remonteurs VRP d’espoir sur les réseaux ne sont en fait que des agents du pouvoir totalitaire,car l’espoir c’est pour demain or demain n’a jamais existé, il ne se produira donc rien d’autre que ce qui s’est passé depuis des milliers d’années.
Le désespoir doit se vivre comme la souffrance ,ni la pensée ni l’analyse ne vont rien en saisir..tout en le croyant avec la force du désespoir !!
si la pensée l’analyse c’est foutu avant d’avoir commencé car la pensée n’est apte que à ce qui est pratique, moyens, outils, d’où notre monde froid de machines sans l ;e moindre sens profond et bon.. !! c’est une souffrance, et là pour une personne des choses impossibles vont se produire etc
Hermes Trismégiste il y a genre 4500 ans mais ? en savait très long sur ça, Adam et Eve aussi, La boite de Pandore également etc
Il y eu des humains éveillés il y a longtemps et être éveillé n’est pas une qualité de la personne, qui va alors valoir plus cher que les autres, mais est juste un état de celui qui est touché par la grace divine..sans le chercher bien sur..Toute souffrance doit se vivre JE SUIS LA SOUFFRANCE or nous l’analysons je vois d’un coté la souffrance et de l’autre moi qui veut s’en débarrasser sans rien y comprendre..cette faute majeure nous coûte la vie pseudo « spirituelle »..et nous fait gagner cet enfer mental, création volontaire humaine de la pensée analytique en position totalitaire sur la psyché..
CQFD..


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