Commentaire de Fergus
sur Se reposer sur ses lauriers
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@ olivier cabanel
Je n’avais pas pensé au « laurier sous l’oreille ».
Cela me rappelle une anecdote. A défaut de laurier, j’ai eu du houx sous l’oreiller en Auvergne lorsque je devais avoir 7 ou 8 ans : je m’étais mis à perdre des cheveux et une vieille du coin, à la fois guérisseuse et rebouteuse, m’avait prescrit — après avoir fait bouillir une mèche de mes cheveux — de porter du houx (débarrassé des épines) dans une poche en journée et sous l’oreiller durant la nuit. Ce que j’ai fait sur injonction de ma grand-mère en l’absence de mes parents. 8 jours plus tard, la situation avait empiré. De retour, mes parents m’ont conduit chez un pharmacien de Saint-Flour qui a diagnostiqué un banal impétigo et prescrit des lotions d’Eau de Dalibour. Très vite, le problème a été réglé. Souvenirs...