Commentaire de Bois-Guisbert
sur Agoravox, respect et éthique
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...quand le fil se transforme en règlement de compte, non pas en contrecoup sporadique ou épidermique, mais en conflit ouvert entre personnes définies, évinçant tout débat d’idée...
Comment donc pourrait-il y avoir débat d’idée entre ceux qui veulent préserver l’unicité de leur pays et son identité, et ceux qui sont disposés à fourguer son patrimoine à des peuplades aussi peu évoluées qu’indifférentes à ce qui a fait sa grandeur,
A des peuplades que rien ne rattache, et ne rattachera jamais, aux alignements de Carnac, au plateau de Gergovie, à Fontaine de Vaucluse, au chêne de Saint Louis, à Jouy, au Mont Saint-Michel, à Aubusson, au château de Versailles, à Limoges, à la saline d’Arc-et-Senans, et encore à tous ces lieux qui, de Commercy à Toulouse, de Molsheim à Bayonne, de Morteau à Cognac, de Banon à Cambrai, chacun à l’ombre de son clocher, ont composé la plus fantastique symphonie gustative qui se puisse imaginer...
Ces gens sont d’ailleurs, qu’ils y restent. Face à la menace, il n’y a rien à débattre, il n’y a qu’à se battre. Et ça ne tombe pas si mal, puisqu’on n’a pas peur des coups, ni d’en recevoir ni d’en donner