Commentaire de Ad vitam aeternam et tutti qualiti
sur Misère intellectuelle de la biologie contemporaine et avenir de la philosophie du vivant


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Ad vitam aeternam et tutti qualiti (---.---.111.209) 25 juin 2006 04:07

(J’avais intitulé ceci : « Trou d’eau »)

Je constate sur fr.Yahoo !.com un article issu d’« Agoravox », « le journal média citoyen qui vous donnne la parole » (je pense que je ne l’avais pas, avant, c’est probablement vrai...), qui s’intitule, « Misère intellectuelle de la biologie contemporaine et avenir de la philosophie du vivant ». Parle pour toi, aurait sûrement pu dire mon ancêtre putatif (putatif, j’écris bien, puisque « je dis bien » serait oral quoiqu’autant verbal) Rollon, ou Schrödinger (pour rire), ou Jaffelin (là c’est moins évident, mais qu’est-ce qui est évident ; la différence est que le dernier vit toujours, semble-t-il).

Alors de deux choses l’une : ou bien la main de l’homme est consubstantielle et contemporaine de sa constitution biologique, ou bien biologique ou biologie (les deux, le « ou » vaut un « et » ici juste avant) sont de simples mots, creux, sans signification.

Dans le premier cas, partant du principe que « mécanique », donc « mécaniste », si cela a un sens pour ce dernier cas, provient, en tant que terme lexical, « mot », quasi vulgairement, justement du mot « main », ou du terme « mécanos », qui veut dire « j’ai fini pas penser au Mecano en passant par le français via le grec ou l’inverse, je ne sais plus, en tout cas c’est rapport à la main, aux mains, des humaines ou des humains ». Donc, comme le deuxième cas est invalide dans le sens non valide du tout, il en résulte que donner à toute explication de la vie un sens « mécaniste » (car on ne fait pas dans la dentelle, depuis longtemps), tant qu’on y est (on pourrait commencer par « mécanique », mais non, pour être sûrs d’être entâchés d’erreurs comme du cambouis qui nous collerait au front, on y va directo pour « mécaniste »), est un anachronisme et ruine comme nulle et non avenue d’emblée toute l’explication qui pourrait fournir un fondement, un soubassement, une fondation ou plusieurs d’édification d’érection de construction de bâti d’un genre de tour de Babel, de Pise ou du Gard.

Alors donc bon bah voilà, adieu même Erwin, Schrödinger, qui doit se retourner sous sa pierre tombale s’il en a une, ce que j’ignore complètement.

Eviter des écueils, c’est bien ; éviter les écueils, c’est bien ; prendre un écueil pour une mer d’huile non vue par ces prédécesseurs que seraient nos ancêtres ou nos contemporains, c’est... quoi en fait, déjà ? La critique est aisée, paraît-il, et l’art difficile. Je n’en crois rien : c’est l’inverse, bien entendu, c’est du Corneille peut-être avant ou plutôt après la lettre. L’art est aisé, la critique est moins facile. A bon entendeur, M. Bernard Dugué qui avez une biographie en lien HTML sur cette dite page yaoo, je vous salue. Je vais aller y faire un tour d’ailleurs, illico presto. Ma non troppo. Al dente.

Arrivée d’air (chi).


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