Commentaire de Zermikus
sur Violences juvéniles et « pathologies de l'agir »
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Ben voyons !
Enfin, moi, je ne sais pas trop, je n’ai jamais vu de films violents, ça ne m’intéresse pas trop.. Donc, les rictus des gens qui souffrent intérieurement, non, je ne connais pas vraiment ! Par contre, les grimaces des gens qui prennent des coups par des bandes de déchaînés, je n’ai pas eu besoin d’aller au cinéma pour voir : il a suffi que je passe au mauvais endroit, et au mauvais moment...