Bonjour Mr Bang,

tout à fait d’accord avec vous sur ce point précis : c’est la plupart du temps une toute petite minorité, d’autant plus décidée qu’elle est primaire et agressive, qui s’impose par la peur à une majorité modérée, craintive et faible de par sa nature paisible.

C’est une réalité dans les cités, mais n’est-ce pas vrai aussi à une autre échelle, politique celle-là, aux périodes de radicalisation d’un pays ?

Il y a des précédents historiques...

Cordialement Thierry