Commentaire de Philgri
sur La décadence de l'industrie phonographique
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Demian, Si tu reconnais donc la gratuité du Savoir, c’est donc aussi celle de la culture puisque la culture est issue du Savoir !
Dans régime, il y a plus d’ambiguïté : régime de bananes, régime politique, régime amaigrissant, je comprends. Mais régime de droits d’auteurs s’apparente beaucoup plus, surtout aujourd’hui, a une petite dictature minoritaire Ayants (s’accaparants) des Droits qu’à un partage sans restriction de connaissances.
Savoir obligatoire et imposé : j’appelle cela de la propagande ! Nous ne parlons certainement pas du même Savoir ! Le mien a un grand S, il est Libre, et n’a de limite que notre propre capacité a l’absorber, pour le restituer.
Mis à part ces petits détails, nous nous éloignons du sujet. Devons-nous, oui ou non, dire merci aux antagonistes, pour la décadence de l’industrie phonographique ?
Pour ma part, je pense y avoir répondu. Mais pour enfoncer le clou, la mort de cette industrie est bien plus que souhaitable, si nous voulons développer l’esprit créatif indispensable à toute évolution. C’est la philosophie du langage musical qui le demande. Les conservateurs, intermédiaires, distributeurs ou autres usurpateurs, non aucun droit de regard sur ce sujet. La musique appartient à ceux qui la jouent, et non à ceux qui se la jouent. La musique appartient à ceux qui l’écoutent, pas a ceux qui l’entendent. La musique appartient a ceux qui la partagent, pas ceux qui la vendent.
Bon, j’arrête là sinon j’y suis encore demain. À très bientôt peut-être...
Philgri.