Pour ceux qui y sont abonnés, on se réfèrera utilement au décryptage d’Arrêt sur Image, concernant cette série de photos soi disant prises par surprise... à l’intérieur de la propriété d’Anne Sinclair et DSK. En fait, une séance de photos digne du meilleur story telling (puisque mises en scène comme si elles avaient été volées, ce qui n’est pas vrai), arrangée par les communicants de DSK, pour que ça ait l’air plus présentable que la cohue extérieure. Et avec la complicité de plusieurs grands quotidiens qui les ont publiées allègrement, sans le moindre commentaire critique sur leur provenance.

Ce dont les communicants (et les intéressés eux-mêmes) ne se rendent absolument pas compte, c’est que ces clichés de DSK et AS roucoulant à l’excès comme des tourterelles au moment du printemps sont tout simplement grotesques, et, si j’en crois ma propre nausée, de nature à provoquer l’effet exactement contraire de celui recherché. DSK, non plus ad libitum, mais ad nauseam...