Merci, mais je doute qu’un personnage de ce rang ait été au courant des détails opérationnels.
S’agit-il des quelques charges pour couper les pilliers porteurs comme le pense certains experts en démolition, ou bien beaucoup plus, l’énergie potentielle du bâtiment lui-même ne pouvant pas pulvériser des milliers de tonnes de béton et d’acier comme l’affirme certains architectes et spécialistes des structures ?