« Il y a quatre sortes de catégories :
1/ ceux qui font les sales coups,
2/ ceux qui les subissent : les victimes,
3/ les intuitifs qui réfutent au nom de la liberté d’expression, et
4/ les béotiens, les béats, les angéliques qui gobent tout et n’importe quoi. »
Et j’ajouterai une 5ème catégorie, celle où se trouve l’auteur de l’article : les chiens de garde de leur propre prison.