Mon passage préféré de cette émission : quand L’Yvonnet - excellent soit dit en passant - reproche au troubadour Guillon de ne pas s’attaquer aux vrais méchants (comprendre, l’oligarchie politico-médiatico-financière, quel affreux terme), la réponse du bouffon :
« Beeeen, j’ai critiqué Assad la semaine dernière »
Assad, sur qui toute la presse s’acharne ad nauseam en lui attribuant tous les malheurs de la Syrie et du monde. Courageux dénonciateur.