Bravo Bernard, encore une très bonne suite d’article sur ce sujet épineux.
Juste une petite remarque : tu écris « Nietzsche est passé par-là, l’ivresse de la puissance comme substitut à l’émerveillement des miracles naturels et surnaturels ».
Il faut rappeler que la « volonté de puissance » nietszchéenne était spirituelle (elle portait sur la domination de soi), et non matérielle (elle ne visait pas à la domination du monde concret).