J’aime beaucoup cette phrase :
(Trois mots plus tard, la simple exposition est assimilée à une « apologie » !)
Comme s’il s’agissait là, en soi, d’un acte odieux, transgressif, révolutionnaire... surtout pour le film de Dieudonné, pure farce (assez laborieuse d’ailleurs -la 2nde partie) donc objectivement innocent.