béatrice 15 juin 2012 14:05

Je ne sais pas s’ils écrivent aussi bien dans Paris Match, jamais lu (même pas chez le toubib où je vais trop souvent) mais pour moi le fond est le même.
De l’enrobé cachent à peine les sentiers boueux où vous vous délectez.
Haro à V. Trierweiler, oui.

Mais c’est à se demander si vous n’étiez pas à les regarder dans la chambre.


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