walden walden 17 novembre 2012 19:05

merci pour ce bel article,
un petit parfum XIXe quand les irlandais fuyaient la famine aux USA, les Flamands fuyaient dans le nord de la France ... pauvreté mondialisée d’errants, le respect, le droit d’être là, de vivre en paix, sereins et prospères est perdu pour tous
puis, on se prend à rêver que Dickens ou Zola sont devenus un quelconque Kerouac, avec le parfum de la route, avec le Wild dans les yeux,
ballotté entre factures et voyages car on n’est bien nulle part mais on rencontre,
c’est déjà ça


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