Tibet_is_not_china (---.---.58.131) 17 octobre 2006 22:59

Je pense nous sommes vraiment entré dans le début de la fin du régime tyrnnique Chinois ... cela n’a même jamais été aussi proche !!! La Chnie ne tiendra pas longtemps ainsi ... SAUF SI ON LA LAISSE TOUT FAIRE ... mais peut-on continuer à faire du commerce avec ce pays se rendant complice de toutes ses exactions (dont le génocide Tibétain par exemple !!! ... La France met l’accent sur le génocide Arméniene perprétré par les turcs, il serait tant qu’elle rejoigne l’Espagne concernant le génocide Tibétain, humain et culturel)

OBJECTIF A SAISIR la date des J.O. 2008 ... LES j ;o; DE PEKIN AURONT ILS LIEU ??? ESPERONS QUE LES BOYCOTT des J.O.2008 vont aboutir à 1 grande avancée ...

ARTICLE INTERESSANT AU SUJET DU DEBUT DE LA FIN POUR LA CHINE : http://www.tibet.fr/site/index.php?itemid=378 EXTRAIT : "DECLARATION D’INDEPENDANCE DES NATIONS DE LA HAUTE-ASIE

.../... Mongolie intérieure, Turkestan oriental et Tibet

Il est un moment rare et déterminant dans l’histoire humaine lorsqu’une tyrannie cinglante et semble-t-il permanente laisse apparaître à la surface de son implacable structure le premier et infime craquement d’un effondrement imminent. - autorisant les premières excitations d’espoir parmi les peuples opprimés et les nations soumises. Une telle transition était annoncée en Europe centrale et orientale et en Asie centrale avec la chute du mur de Berlin.

Pour les peuples de Mongolie intérieure, du Turkestan oriental et du Tibet, un tel moment pourrait se trouver à portée de main. Le boom économique chinois a créé d’énormes problèmes et conflits insolubles qui menacent de déchirer la société chinoise. La corruption officielle endémique, les soulèvements désespérés de paysans, la sévère répression religieuse, les disparités économiques toujours plus larges, la dévastation écologique, l’absence de recours légal à la justice et la quasi-inexistence d’une société civile, ont été la cause, selon des sources officielles chinoise, de plus de 45.000 manifestations et émeutes, parfois violentes, à travers la Chine l’an dernier.

Les Tibétains, les Ouighours du Turkestan oriental et les Mongols ont traditionnellement aspiré à vivre en liberté dans leur propre patrie indépendante, mais cette aspiration a été contrariée et écrasée par la Chine populaire depuis plus de cinquante ans. C’est un fait historique que la Chine populaire a envahi le Tibet en 1949-1950, dominant et écrasant la petite armée tibétaine qui défendait sa patrie. Il en est de même au sujet du Turkestan oriental et de la Mongolie intérieure qui furent occupés par la force par les troupes communistes en 1949. En aucun cas, la domination de la Chine populaire dans ces pays n’est advenu avec le consentement des populations, ni comme un accident de l’histoire.

Depuis lors, la Chine a systématiquement sapé l’ancien mode de vie de ces peuples, d’abord en abolissant leurs gouvernements légitimes, ensuite en emprisonnant, en torturant et en exécutant nombre de leurs dirigeants traditionnels, de leurs chefs et de leurs leaders spirituels. Lorsque les peuples de ces pays ont refusé d’accepter ces injustices et ces déprédations, l’armée populaire chinoise et les organes de la sécurité d’Etat ont écrasé ce mouvement de résistance avec une irrésistible violence. Des millions de Tibétains, de Ouighours et de Mongols furent tués. Des millions d’autres furent emprisonnés ou déportés dans des camps de travaux forcés (laogai). Par le passé, les populations dans ces pays ont joui d’une suffisance dans les besoins de première nécessité, mais depuis lors, les politiques du gouvernement communiste ont causé l’échec général des récoltes, des famines récurrentes et des privations en masse, dans lesquelles des millions de personnes, particulièrement les femmes, les enfants et les plus âgés, ont péri.

A travers le slogan de « lutte révolutionnaire » (douzheng), l’administration communiste dans ces régions a contraint et forcé les personnes à espionner et à donner des informations les uns sur les autres, et même conduit les enfants à faire des rapports sur leurs parents et à participer à des dénonciations publiques ainsi qu’à des campagnes des « lutte ». En réalité, tous les usages en termes de valeurs humaines universelles d’amitié, d’hospitalité, de foi, de respect, de tolérance, de paix et de compassion, étaient considérés par les autorités communistes comme « féodales » et « contre-révolutionnaires ». .../...

à lire donc sur http://www.tibet.fr/site/index.php?itemid=378


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