A Antoine Diederick,
En l’espèce, il ne s’agit pas de « mourir pour l’Europe » mais de se défendre contre des mesures gravement antidémocratiques que préparent la Commission Européenne et le Parlement Européen.
A l’approche des élections municipales et européennes, la moindre des choses serait de demander des comptes aux politiciens sur leur silence. Et de ne cautionner aucun candidat ni liste qui ne se soit pas expliqué(e) à ce sujet.