Bonjour, Fatizo.
Copé jeté dans les caniveaux nauséabonds des dérives politico-financières, personne ne pleurera, mis à part ceux à qui il va tenter de faire porter le chapeau ou quelques « obligés » qui ont eu l’imprudence d’accepter naguère son soutien, sous une forme ou une autre.
Quant au fantôme, il aura bien du mal à se débarrasser du sparadrap que constituent toutes ces affaires qui surgissent sans cesse autour de lui. Qui peut sérieusement croire qu’il a pu mener une campagne aussi fastueuse sans (au moins) autoriser ses collaborateurs à « tout » mettre en œuvre pour servir ses intérêts ?